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Fugues
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29 juillet 2010

Les rêves d'angoisse

Consciente ou non, l'angoisse joue un rôle important chez l'être humain. Il est donc logique qu'elle forme la trame de nombreux rêves.


Dans les rêves, l'angoisse se traduit généralement par des sentiments négatifs de tous ordres. Ainsi surgissent des situations inextricables ou effrayantes. Une situation passée peut se présenter, toujours semblable à elle-même dans des rêves souvent répétés.


Il est facile de trouver des rêves d'angoisse parmi ses propres fantasmes nocturnes. Angoisses quotidiennes, angoisses métaphysiques, angoisses cosmiques...



Ici également, des avions tombent et prennent feu, des gens hurlent, des paniques se produisent dans les foules, des dédales s'étendent à l'infini ; on erre, perdu et seul, dans une ville inconnue, des maisons s'écroulent, des tremblements de terre ont lieu. les raz-de-marée déferlent ...



Il est des rêves d'angoisse plus profonde : un fils tue sa mère, une mère poignarde son enfant, un mari voit sa femme engloutie dans les flots, un navire plonge dans l'abîme, etc. Apparaissant également les plaines immenses, désertes, enneigées ou glacées. Des maisons sont inoccupées, abandonnées, hostiles, parmi les herbes folles. Des sanglots se font entendre durant le sommeil. Des animaux étranges, archaïques, apparaissent, des insectes déferlent, des morts se relèvent et menacent. On est perdu, égaré, rejeté, abandonné, seul au monde et dans l'univers... Oui, l'angoisse humaine est grande.


Les sensations physiologiques et les rêves d'angoisse



Les rêves d'angoisse - ou les cauchemars - sont parfois provoqués par des malaises physiques (superficiels ou profonds), par des gênes respiratoires, des oppressions cardiaques ou pré-cordiales, etc. Chacun sait qu'une digestion difficile peut engendrer un rêve d'angoisse. Mais, de toutes les façons, la situation physiologique du rêveur déterminera toujours la présentation de telle ou telle image du rêve, auquel le malaise physique ne sert que d'interrupteur.



Les rêves d'angoisse et la sexualité



Les besoins et désirs sexuels jouent ici un rôle important. Les "refoulements" figurent souvent au premier plan. Parmi les plus courants on trouve des rêves de situation oedipienne. Il est rarissime que ces rêves décrivent objectivement une situation. Ce sont les symboles qui, ici encore, se chargent de montrer le climat, les désirs, les angoisses, les refoulements. Dans ma propre documentation, je possède environ vingt rêves où, à travers des contextes différents, un fils « poignarde» sa mère. Il ne s'agit pas de rêves de haine, mais de relations sexuelles : le poignard symbolise le phallus.


La puberté est l'époque où se produisent de nombreux rêves d'angoisse. Ce qui est normal : c'est le temps où sourdent de grandes difficultés affectives et sexuelles. En outre interviennent la peur de l'avenir, l'angoisse de quitter la sécurité familiale, la crainte de la liberté, etc.



Quelques symboles courants d'angoisse.



Parmi les rêves "sexuels" angoissés :



- Les serpents apparaissent fréquemment, dans les rêves d'hommes ou de femmes. Ils sont des symboles phalliques. Également des animaux reptiliens, des jungles, des forêts, des bosquets touffus (souvent symboles du pubis; ils peuvent également signifier l'inconscient).


- On trouve des tours qui s'écroulent (la tour est ici symbole phallique, dressé, vertical ; son écroulement montre une peur de l'impuissance affective ou sexuelle).


- Des revolvers ne « partent » pas, à moins que la balle ne retombe mollement (même symbole que précédemment).


- Des navires sombrent, des gens sont engloutis dans la mer ou les marais (signifiant l'angoisse de retourner à l'inconscient et à la Mère).


Chez la jeune fille, on trouvera plus spécifiquement des personnages mâles, menaçants, hirsutes. Sont fréquents les rêves montrant l'angoisse du viol (serpents, couteaux, objets pointus ou acérés, voitures qui foncent sur elle, trains qui la percutent de face, plaies béantes aux organes génitaux, etc.)


Est-il utile de dire combien ces rêves provoquent une sorte de panique chez les adolescents et les adolescentes qui ont tendance à prendre leurs rêves au pied de la lettre, ce qu'il ne faut jamais faire, je le rappelle ?


Les situations pénibles


Les rêves d'angoisse présentent assez fréquemment des situations de vie difficiles, soit passées, soit actuelles. Ces rêves - comme déjà dit - peuvent survenir de façon répétée, durant des années !


Voici quelques exemples :


- Jacques rêve très souvent qu'il se trouve toujours à l'armée. A moins qu'il ne soit rappelé sous les drapeaux. A moins qu'il ne soit porté déserteur.


Or, Jacques est âgé de 50 ans. Il semble donc que l'armée ait fait naître un traumatisme ou un climat d'angoisse non liquidés après le licenciement. Ce genre de rêve peut paraître superficiel ; or, il s'agit au contraire d'un trouble profond, dont le rêve n'est que la traduction symbolique.


- Paul rêve fréquemment qu'il se retrouve au bureau. Il y revient après une absence injustifiée. A moins que son chef ne lui fasse des reproches au sujet d'un travail mal fait. A moins qu'il ne se prépare à démissionner sans jamais le faire.


Or, Paul exerce depuis plusieurs années une profession libérale. Ces rêves de « bureau » sont toujours chargés d'angoisse. Pourquoi ? Il faudrait donc savoir ce que représente ce bureau pour Paul, et ce que représente également une démission jamais réalisée. Est-ce là une « peur de la liberté » ? Quant à ces absences injustifiées, il s'agit sans doute d'un climat de culpabilité générale, projetée sur le bureau et son chef. Et c'est sans doute dans l'enfance de Paul que se trouve le clé de ces rêves répétés qui semblent « insister » sur la nécessité de liquider une situation intérieure imbibant en permanence la vie de Paul...


- Marie-Thérèse rêve très souvent qu'elle prépare ses examens universitaires.


Or, elle est médecin depuis de nombreuses années. La vie serait-elle pour elle un « examen » permanent ? Y a-t-il tellement de culpabilité qu'elle se sente obligée de "rendre des comptes" en permanence ?


- Frédéric rêve souvent qu'il rentre dans la maison habitée par sa mère (morte depuis longtemps). Il appelle. Personne ne répond. L'obscurité est totale, le silence est absolu. Il voudrait monter à l'étage ; il se sent paralysé de terreur. Il se réveille chaque fois en sueur.


Notons que l'angoisse de Frédéric (lorsque sa mère vivait seule) était de la trouver morte. En fait, et en allant au fond des choses, l'angoisse de Frédéric provenait de son souhait inconscient... qu'elle meure, justement ! Et ce, afin de se libérer d'une tutelle que sa mère avait toujours fait peser sur lui. L'angoisse est donc ici comme un "champ électrique" entre les pôles positif et négatif ; elle provient de l'antagonisme puissant entre le désir conscient (que ma mère vive !) et le besoin inconscient (que ma mère meure !). Il y a également dans ces rêves une angoisse d'être abandonné.


- Jeanne rêve fréquemment qu'une femme la pousse vers un grand miroir dont elle se détourne avec horreur.


Un mot d'explication : Jeanne eut une mère qui refusait (inconsciemment) que sa fille grandît. Elle voulait, au fond, que Jeanne fût purement et simplement son « double ». Chez Jeanne, la moindre tentative de liberté ou d'autonomie provoquait de l'angoisse. Et ces rêves répétés disent : « ma mère veut que, dans ce miroir, je voie son image et non la mienne. Je refuse ; je veux devenir ce que je suis, tout en ayant peur de regarder la situation en face ... »


- Jean-Pierre rêve souvent qu'il s'éloigne de la maison parentale, mais qu'une voix le rappelle. Il fait demi-tour.


Or, Jean-Pierre a quarante ans. Il est marié. Ses parents sont morts. Ces rêves sont liés à un sentiment de culpabilité. Jean-Pierre eut toujours la sensation d'avoir « abandonné » ses parents pour se marier ; parents qui, notons-le, vivaient dans l'aisance et ne lui reprochaient rien. Ce sont des rêves "d'abandonnisme" et de « peur de la liberté ».


- Jacqueline rêve fréquemment d'un grand fleuve ensoleillé, couvert de péniches, mais un véritable tapis d'oiseaux noirs survole le fleuve.


Rêves imbibés d'angoisse s'il en est ! En deux mots, Jacqueline eut une enfance et une adolescence placées sous la tutelle d'une grand-mère «castratrice». Cette grand-mère était, en permanence, vêtue de noir. Elle était l'image du deuil, de la tristesse ressentie à la mort de la mère de Jacqueline. Mais la grand-mère continua, durant des années, de porter ce deuil vestimentaire et, finalement, devint pour Jacqueline la représentation même de la mort... Peut-on s'étonner que Jacqueline soit tellement angoissée, partagée entre la vie rayonnante qu'elle sentait en elle et cette image de mort qui la poursuivait?


- Jean-Marie rêve, depuis des années, que le téléphone sonne durant la nuit. Il rêve qu'il se lève, décroche, pour entendre une voix de femme, très douce, qui ne fait que citer son prénom. C'est ensuite le silence. Chaque fois, Jean-Pierre se réveille angoissé.

Qui est cette femme qui poursuit le rêveur et se contente de l'appeler ? N'ayant fait que lire ce rêve que m'avait envoyé un Jean-Pierre inconnu de moi, je ne puis que supposer ... S'agit-il de "l'Anima" de Jean-Pierre, dont le rêveur ne parvient pas à obtenir de « messages » ? Est-ce à dire que, dans sa vie, le rêveur ne peut dégager cette Anima des forces maternelles qui l'encombrent ? C'est possible. S'agit-il d'une puissante nostalgie d'enfance? Ou de la « voix » de sa mère, à laquelle Jean-Pierre serait demeuré relié par de puissants courants affectifs ? Ou par une intense culpabilité ?


- Virginie rêve souvent qu'elle se promène dans une grande ville. Elle demande soit son chemin, soit l'heure. On ne lui répond jamais. Elle se met alors à courir vers le poste de police.


Il s'agit de rêves "d'abandon". Virginie se sent coupée des relations sociales ; elle se croit rejetée. Errant en elle (= dans la ville), elle ne trouve aucune main secourable, aucune oreille qui l'écoute. Seule au monde dans ces rêves, elle se précipite vers la police, qui représente ici un élément de sécurité maternelle.


- Jacques rêve souvent que des maisons s'effondrent. Il se sent paralysé.


C'est un type de rêve qui pourrait indiquer une situation inconsciente assez dangereuse. La maison peut représenter le « Moi » de Jacques (homme souvent dépressif d'ailleurs). Ce Moi s'écroule ; mais, en même temps, c'est toute une « verticalité » qui s'abat, toute une construction qui se désagrège. Ces rêves traduisent donc aussi une forte sensation d'impuissance de vivre ; ce sont évidemment, en plus, des rêves de castration.


Ainsi donc, l'angoisse surgit dans la nuit. Il faut dire à nouveau que la répétition de certains rêves est un signe à ne jamais négliger. Les rêves d'angoisse ne sont que des symptômes, avertissant le rêveur qu'il doit rechercher la racine de ses troubles.

Apparaissent également de « grands " rêves d'angoisse, parfois proches des archétypes. Ce sont des chevaux qui déferlent et menacent de renverser le rêveur. Ce sont des géants menaçants, des monstres mythiques. Se font entendre des voix menaçantes. On aperçoit des forêts énormes où l'on s'enfonce sans espoir de retour. Des couleurs apparaissent. Des nains dangereux, des bandes de hors-la-loi hantent les rêves de beaucoup de femmes. Voici un homme qui erre sans fin dans les glaces. Voici ... Mais faut-il poursuivre la nomenclature de ces rêves, aussi variés que peut l'être l'anxiété humaine, et dont je n'ai fait que citer quelques symboles courants?


Que de crimes en ton nom ...


Mais voici un autre type de rêve d'angoisse, assez fréquent, et qui a le don de plonger le rêveur dans une anxiété accrue. Ce sont les rêves de crimes, de prisons, de poursuites.

Un homme (27 ans) :


- Je venais d'être libéré d'une prison où j'avais purgé une longue peine pour je ne sais quelle faute ou quel crime. La rue était animée et ensoleillée. Je me mettais à courir ; je me sentais poursuivi. Me retournant, je vis une foule menaçante courir derrière moi.



Cependant, cet homme commença ses commentaires en disant : "mais après -ou-, est-ce moi qu'ils poursuivaient ? Je le supposais, mais rien ne me le prouvait !".


Laissons associer le rêveur :


- PRISON. Je suis en prison. Depuis toujours. Je ne suis jamais libre. Mais qu'est-ce que je dois payer ? Impression de n'avoir pas le droit d'être. Désamorcer le destin. On ne m'aime pas. Je dois faire des choses pour qu'on m'aime. Je payerais pour qu'on m'aime. Je ne veux pas être seul. Pas libre. Mais on me libère. Soleil. Pourquoi est-ce que je cours comme si le monde entier était à mes trousses ? Toujours l'impression d'être regardé, observé, critiqué. Timidité. Angoisse. Et pourtant, il y a du soleil ... pourquoi pas pour moi ? Je me sens même coupable face à ma femme et à mes enfants !... Impression d'être un petit garçon dans un monde d'adultes... Non ; ne pas être seul...


Ainsi donc, le «prisonnier» (de lui-même ... ) ressent une certaine détente (intérieure). La liberté apparaît (rue ensoleillée). Mais la culpabilité demeure (je n'ai pas le droit d'être libre, heureux, autonome). Refuse-t-il sa liberté? Cette liberté lui fait-elle peur?


Dans ces types de rêves, interviennent souvent des représentants de la loi : juges, gendarmes, douaniers, professeurs, directeurs, bourreaux, avocats, etc. Le rêveur se voit traqué, interrogé, fouillé, en fuite, jeté en prison, décapité, etc. Ces rêves peuvent être reliés à une situation oedipienne.


Un homme, 22 ans :


- J'ai tué mon frère aîné. Le pistolet du crime est sur la table. Mon frère est allongé ; il est mort, mais me regarde et dit quelques mots en souriant. Mes parents sont présents. La scène semble parfaitement naturelle à tous, moi inclus. C'est ce qui m'a le plus étonné. Depuis, je ressens une libération.


Et l'on comprend cette libération intérieure ! Sans entrer dans les détails, pour importants qu'ils soient, disons que Philippe avait toujours considéré son frère comme supérieur à lui, recevant tous les hommages. Le rêveur se sentait le « cadet », le « petit dernier ». Il se croyait le second dans l'amour maternel, et second également dans les sollicitudes paternelles. C'est une situation on ne peut plus courante. A un certain moment, il se rendit compte qu'il « fabriquait » cette situation d'infériorité. Pourquoi ? Par un certain «masochisme» qui pouvait, croyait-il, lui assurer l'amour total de ses parents. Il fabulait. Il imaginait une situation familiale qui n'existait pas. A ce moment de prise de conscience, il fit ce rêve.


Il tue au pistolet. Cet instrument est un objet « phallique » (percutant, perçant). C'est un signe de virilité. L'important est que la scène soit naturelle. L'harmonie familiale démontre la paix intérieure de Philippe et le redressement qu'il a su opérer.

Comme déjà dit, les crimes se présentent assez fréquemment dans les rêves. Il s'agit, le plus souvent, d'une traduction de la situation oedipienne. Et cela, même si le rêve semble n'avoir rien à voir avec cette situation : un employé tue son directeur, par exemple, ou le rêveur abat un représentant de la loi.


Voici un homme rêvant qu'il fonce avec sa voiture contre le gardien de l'aire de stationnement. Ici encore, l'auto est phallique : elle percute, troue. Le gardien symbolise le père qu'il faut tuer pour posséder l'amour total de la mère. Beaucoup de femmes rêvent qu'elles tuent au moyen d'un poignard ; c'est également un objet phallique, qui peut marquer l'accession à une masculinité trop longtemps refoulée.


De toutes les façons, est-il encore besoin de répéter qu'il ne faut jamais prendre ces rêves au pied de la lettre ?


Les causes des angoisses oniriques


Nous savons qu'un phénomène d'angoisse peut être comparé à un « champ électrique » entre les pôles positif et négatif. Poursuivons la comparaison : dans un condensateur, l'énergie se localise dans l'isolant qui sépare les lames, c'est-à-dire dans l'espace se trouvant entre les électrons. Il en va de même pour l'angoisse, qui « accumule » ses énergies parfois énormes et les « condense » entre des sensations opposées. Dans un rêve, les sentiments et les sensations négatifs (haine, hostilité, besoins, désirs, etc.) se présentent sans barrage. L'inconscient, ne s'occupant jamais de « morale », livre sans détours ce qu'il contient.


Mais l'angoisse peut être comparée également à une puissance bloquée. C'est un barrage situé au milieu d'un fleuve. Un important « mouvement » de la personnalité se voit freiné ou arrêté (par la morale, par exemple). De puissants sentiments sont ici en jeu : amour, haine, sexualité, autonomie, liberté. Imaginons un exemple entre mille : une mère éprouve d'intenses difficultés à élever et à guider un enfant difficile. L'éducation de cet enfant lui supprime toute liberté personnelle et lui donne des soucis énormes. Il est normal qu'elle pense (plus ou moins consciemment) : « s'il n'était pas dans ma vie, je pourrais être heureuse et disposer de moi ». Il est normal qu'elle le pense, puisque cela est vrai.




Et un rêve va apparaître, tel le suivant par exemple (une femme de 32 ans):


- Je partais en voyage avec mon fiancé. On avait abandonné notre petit chien. C'était horrible, mais je parlais de Venise à mon fiancé.


D'après les associations de la rêveuse, notons qu'elle voyage avec son fiancé (devenu son mari). Elle recule dans le temps. Elle se retrouve à l'époque de la liberté des vacances, et des promesses. Elle abandonne la situation actuelle et « refuse » d'être mariée ( = non-libre). Le petit chien symbolise son enfant. Mais, même dans le rêve, une « censure » intérieure bloque le désir réel. La monstruosité ressentie est trop puissante et le rêve « édulcore » le désir. Il y a donc blocage, barrage. Cette mère - après son rêve - s'était jugée la pire des femmes... et avait rapidement pensé à autre chose. Mais l'angoisse demeurait, jour après jour, comme une sorte de « pression » contre le barrage. Et ce n'est qu'après s'être rendu compte que l'inconscient lui dépeignait un désir normal (n'avoir pas d'obstacles à sa liberté), en opposition à son désir tout aussi normal (élever son enfant difficile qu'elle aimait), qu'elle sentit la paix remonter en elle.


Pierre Daco "L'interprétation des rêves"


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Commentaires
S
Je reve que je suis 2 personnes différentes.. Un est une personne qui a double identité moi et lui... celui ci homme se prend pour moi et reviens à lui en tant homme.. Lorsque qu'il est moi,,, on lui dit que ses parents existes pas et je sais qu'il existe réellement.. donc je cherche dans la nuit une maison déjà habités par eux mais impossible de la trouver... donc angoisse surgit..... Il revient à sa personne en se faisant dire que la personne féminine qui se dit qu'il est est seulement dans sa tête....ce rêve m'angoisse lorsque je me réveille à plusieurs reprises dans la nuit car il se poursuit malgré dans mon soimmeil
R
bonjour j'ai fait un rêve qui me tourmente beaucoup, jetais avec ma mere mon mari et ma fille et je passe dans mon escalier ouvre 2 marche et me retrouve chez un voisin en descendant, puis ce voisin est tres grand beau mais a un cancer avec des tuyaux dans le nez, je repart avec ma mere mon mari et ma fille, nous reprenons lescalier et j'arrive chez moi dans ma maison en remontant et la je me retrouve sur une plage dans le lotissement ou il y a la maison de ma mere, la voisine est la dun seul coup une immense vague arrive... et ma mere actuellement ne peux bouger sa jambe, je lui dit de courir , elle court, bien plus tard la terre un seisme enorme deforme le sol et fait disparaitre des morceaux de terre, et d 'autre emmerge comme des mini montagne, l'eau de la mer arrive alors je crie a mon mari et ma fille: cour courons,, nous courons de toute nos forces.... je regarde en arriere et je sent que le sol qui se déforme va bientôt arriver a nos pied je cour avec eux de toute mes forces avec ma pauvre petite puce.. je ne sais si cest la fin pour nous 3<br /> <br /> dans ma vie réel ma maman a une jambe dans le sac on ne sait pas ce qu'elle a, moi jai des douleurs cardiaque peu etre encore une péricaridte et des soucis a lovaire mais non fonctionnel avec hemorragie tout aout, et dans le couple cest dur dur, aucune communication, et notre entreprise de 2 mois donc jeune ne fonctionne pas et nous n'avons aucun salaire et j'ai peur d etre a la rue,,, voila la situation vrai... que veux dire ce rêve ?<br /> <br /> QUE JE vais me séparer , que mon entreprise va couler ?? ou encore que ma mere qui na pas eu le temps de courir va plongée dans une grave depression ou moi va ton mannoncer un cancer de lovaire ?<br /> <br /> merci de m'accorder par avance votre temps... je me sent si triste et seule<br /> <br /> raphaelle
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